Le gouvernement ivoirien a annoncé la mise en place de péages sur plusieurs tronçons routiers, notamment ceux reliant Dabou à Grand Lahou, Grand Lahou à Fresco, Fresco à Sassandra et enfin Sassandra à San Pedro. Cette décision a été justifiée par le besoin d’assurer l’entretien régulier de ces routes, qui sont des infrastructures clés pour le développement économique et social de la Côte d’Ivoire.
En effet, ces routes sont des voies de communication stratégiques pour l’acheminement des produits agricoles et des matières premières vers les ports, ainsi que pour le transport de passagers et de marchandises entre les différentes régions du pays. Leur bon état est donc essentiel pour garantir la fluidité des échanges et favoriser la croissance économique.
Le ministre de l’Equipement et de l’Entretien Routier, Amédé Kouakou Koffi, a expliqué que la mise en place de péages était une manière de faire participer les usagers de ces routes à leur entretien. En effet, selon lui, une route qui n’est pas régulièrement entretenue se dégrade rapidement et nécessite des réparations coûteuses, ce qui peut impacter le budget de l’Etat.
La mise en place de péages sur ces routes n’est pas une mesure nouvelle en Côte d’Ivoire, puisque plusieurs tronçons routiers sont déjà soumis à cette forme de taxation. Les fonds ainsi collectés sont utilisés pour financer l’entretien des routes et la construction de nouvelles infrastructures.
Cependant, la décision de mettre en place des péages sur ces tronçons routiers suscite des interrogations et des inquiétudes chez certains usagers, notamment les transporteurs. Ces derniers craignent que cette mesure n’ait un impact sur le coût du transport et n’entraîne une hausse des prix pour les consommateurs.
En effet, la Côte d’Ivoire accueillera la Coupe d’Afrique des Nations en 2024, et le transport routier sera l’un des moyens privilégiés pour les supporters pour se déplacer d’une ville à l’autre. Si le coût du transport augmente considérablement, cela pourrait impacter la fréquentation de l’événement et avoir un impact sur l’économie locale.
Pépinières de mangue
Note 0 sur 52.000CFAPépinières de petit cola (Bitter Cola)
Note 0 sur 51.800CFAPépinières de fruit de la passion
Note 0 sur 5500CFAPépinières de palmier
Note 0 sur 51.500CFAPépinières de coco
Note 0 sur 52.000CFAPépinières de Café
Note 0 sur 5500CFAPépinières de Tangelo (Commande minimale : 25 plants)
Note 0 sur 52.000CFAPépinières d'Akpi (Djansang)
Note 0 sur 51.500CFAPépinières de banane plantain
Note 0 sur 5300CFAPépinières de Citron
Note 0 sur 52.000CFAPépinière de Cacao
Note 0 sur 5250CFAPépinières de Chou (Commande minimale : 50 plants)
Note 0 sur 5250CFAPépinières de Piment Sent Bon
Note 0 sur 5200CFAPépinières de colatier
Note 0 sur 51.500CFARejet de Banane
Note 0 sur 5150CFAPépinières d’avocat
Note 0 sur 52.000CFAPépinières de Poivre (Commande minimale : 50 plants)
Note 0 sur 5500CFAPépinières d’orange
Note 0 sur 52.000CFAPépinières de Mangoustan
Note 0 sur 51.500CFA
Il est donc essentiel que les autorités prennent en compte ces préoccupations et veillent à ce que la mise en place de péages ne soit pas un frein à la croissance économique du pays. Il est également important que la gestion des fonds collectés soit transparente et efficace, afin d’assurer que ces derniers soient utilisés à bon escient pour l’entretien des routes et la construction de nouvelles infrastructures.
En conclusion, la mise en place de péages sur les routes reliant Dabou à Grand Lahou, Grand Lahou à Fresco, Fresco à Sassandra et enfin Sassandra à San Pedro est une mesure nécessaire pour assurer l’entretien régulier de ces infrastructures clés pour le développement économique et social de la Côte d’Ivoire. Cependant, il est important que cette mesure soit mise en œuvre de manière transparente et efficace, afin de ne pas impacter le coût du transport et d’avoir des conséquences négatives sur l’économie du pays. Les autorités doivent donc veiller à ce que la gestion des fonds collectés soit transparente et efficace, et travailler en concertation avec les usagers des routes pour trouver des solutions qui permettent de garantir l’entretien des routes tout en limitant l’impact sur le coût du transport.
Il convient également de souligner que la mise en place de péages ne doit pas être la seule solution envisagée pour financer l’entretien des routes en Côte d’Ivoire. Il est nécessaire de rechercher des financements complémentaires auprès des bailleurs de fonds internationaux et de développer une stratégie globale pour améliorer la qualité des infrastructures de transport du pays.
En conclusion, la mise en place de péages sur les routes reliant Dabou à Grand Lahou, Grand Lahou à Fresco, Fresco à Sassandra et enfin Sassandra à San Pedro est une mesure nécessaire pour assurer l’entretien régulier de ces infrastructures clés pour le développement économique et social de la Côte d’Ivoire. Cependant, les autorités doivent veiller à ce que cette mesure ne soit pas un frein à la croissance économique du pays et travailler en concertation avec les usagers des routes pour trouver des solutions qui permettent de garantir l’entretien des routes tout en limitant l’impact sur le coût du transport.